Lequel de ces six cas est le vôtre?

1-- Vous souhaitez vous séparer.Vous n’êtes pas mariés. Vous êtes totalement libres de vous séparer comme bon vous semble.Le recours à un avocat et le passage devant le JAF ne sont pas obligatoires.Néanmoins, vous pouvez présenter une requête au JAF afin qu’il formalise vos décisions notamment en ce qui concerne les droits de visite et d’hébergement des enfants, le montant et le versement d’une pension alimentaire.



separation.divorce@yahoo.fr



2-- Vous estimez avoir été lésé dans vos rapports avec vos enfants lors de votre séparation (droit de garde, droit de visite…). Vous pouvez contester la décision rendue par le JAF.



separation.divorce@yahoo.fr



3-- Vous êtes divorcés (ou séparés) depuis un certain temps et votre situation (ou celle de votre ex-conjoint) a changé.Vous pouvez demander la modification d’une décision JAF.



separation.divorce@yahoo.fr



4-- Vous êtes divorcés (ou séparés) depuis un certain temps et votre situation (ou celle de votre ex-conjoint) a changé.Vous avez vécu en concubinage, vous êtes séparés et aucune décision de justice n’est jamais intervenue. Vous pouvez solliciter une décision JAF.



separation.divorce@yahoo.fr



5-- Votre ex-conjoint (ou ex-concubin) ne respecte pas les droits de visite et d’hébergement et une décision de justice a été rendue. 1) Il faut essayer de trouver un accord amiable pour l'intérêt de l'enfant. Une association de médiation familiale pourra vous aider.2) En cas de désaccord, il est possible de saisir le Juge Aux Affaires Familiales afin de lui faire part des difficultés rencontrées. Celui-ci pourra ordonner notamment une médiation familiale



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6-- Votre ex-conjoint (ou ex-concubin) ne respecte pas les droits de visite et d’hébergement et aucune décision de justice n'a été rendue.Un accord pour le bien-être de l'enfant doit être trouvé. Une association de médiation familiale peut être consultée. En cas de désaccord grave et persistant, il est possible de s'adresser au Juge aux Affaires Familiales qui fixera le droit de visite et d'hébergement dans l'intérêt de l'enfant, au besoin après une mesure d'enquête



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Séparation des parents : droit de visite et d'hébergement

Principe

En cas de séparation des parents, le parent chez lequel l'enfant ne réside pas habituellement peut fixer, avec l'accord de l'autre parent chez lequel l'enfant réside, un droit de visite et d'hébergement.

Le droit de visite et d'hébergement consiste à prendre les enfants en fin de semaine et pendant une partie des vacances scolaires.

Dans la pratique, ce droit s'effectue 1 week-end sur 2 et la moitié des vacances scolaires.

A savoir :si l'un des parents change de domicile, il doit en informer l'autre parent au préalable et en temps utile, sous peine d'être sanctionné pénalement.

En cas d'accord entre les parents

Au cours de la procédure de divorce, les parents peuvent se mettre d'accord pour fixer les modalités du droit de visite et d'hébergement du parent chez lequel l'enfant ne réside pas. C'est le juge aux affaires familiales qui homologuera l'accord des parents tout en vérifiant qu'il est conforme à l'intérêt de l'enfant.

En cas de séparation des parents non mariés, ceux-ci peuvent organiser les conditions du droit de visite.

En cas de désaccord entre les parents

A défaut d'accord entre les parents pour fixer les conditions du droit de visite et d'hébergement, le juge aux affaires familiales peut être saisi. Il fixe les conditions du droit de visite et d'hébergement.

Cas particulier du parent privé de l'exercice de l'autorité parentale

Le droit de visite et d'hébergement est également prévu pour le parent qui n'exerce pas l'autorité parentale.

Le juge lui accorde ce droit, qui ne peut lui être refusé que pour des motifs graves.

Lorsque la continuité et l'effectivité des liens de l'enfant avec ce parent l'exigent, le juge peut organiser le droit de visite dans un espace de rencontre désigné à cet effet.

A noter :le parent qui exerce seul l'autorité parentale ne doit pas empêcher l'autre parent d'exercer son droit de visite et d'hébergement.

En cas de difficultés

Si l'un des parents bénéficie d'un droit de visite et d'hébergement et si l'autre parent l'empêche d'exercer ce droit, il peut porter plainte auprès duprocureur de la Républiqueau tribunal de grande instance du domicile de l'enfant.

Le parent est passible de sanctions pour non représentation d'enfant.

Non représentation d'enfant

Ces faits sont punis d'un emprisonnement d'1 mois à 1 an et de 15.000 € d'amende. Les peines prévues peuvent être portées à 2 ans d'emprisonnement et 30.000 € d'amende.

Si le parent est déchu de l'autorité parentale, ces mêmes faits sont punis de 3 ans d'emprisonnement et de 45.000 €d'amende.

Droit de visite et d'hébergement peut être refusé

Le droit de visite et d'hébergement ne peut être refusé par le juge que dans l'intérêt de l'enfant.

L'autorité parentale

Principe

La séparation des parents est, en principe, sans incidence sur les règles de dévolution de l' exercice de l'autorité parentale.
Les parents doivent maintenir des relations personnelles avec l'enfant et respecter les liens de celui-ci avec l'autre parent.

Décision du juge

Juge compétent

Le juge aux affaires familiales est compétent, en cas de séparation des parents (divorce, séparation de corps, fin du concubinage ou dissolution du pacte civil de solidarité), sur les questions relatives : aux modalités d'exercice de l'autorité parentale, et sur la contribution à l'entretien et à l'éducation de l'enfant.

Il peut être saisi par l'un des parents ou par le ministère public (pouvant être lui-même saisi par un tiers, parent ou non).

Décision du juge

Le juge doit veiller à la sauvegarde des intérêts des enfants mineurs et prendre des mesures afin de garantir la continuité et l'effectivité du maintien des liens de l'enfant avec chacun des parents.

Il peut décider que l'autorité parentale sera exercée :
soit en commun par les 2 parents (en règle générale),
soit par l'un des parents (en cas de circonstances particulières).

Le juge fixe également la résidence de l'enfant et les modalités d'exercice du droit de visite et d'hébergement.

Les décisions du juge peuvent être modifiées à tout moment, si des éléments nouveaux interviennent, à la demande de l'un des parents ou du procureur de la République (pouvant être lui-même saisi par un tiers, parent ou non).

Comment le juge décide-t-il ?

Le juge peut demander une enquête sociale ou un examen médico-psychologique qui ne seront pas utilisés dans le débat sur le divorce.

Une contre-enquête ou un nouvel examen sont possibles à la demande de l'un des époux.

Il peut entendre les mineurs capables de discernement, d'office ou à leur demande.

Lorsqu'il prend l'initiative d'une telle audition, il peut procéder personnellement à une telle audition ou mandater à cet effet toute personne ou service de son choix.

Lorsque le mineur en fait la demande, son audition ne peut être écartée que par une décision spécialement motivée.

Médiation familiale

En cas de désaccord entre les parents, le juge à la possibilité de proposer aux parents une médiation familiale pour rechercher un exercice consensuel de l'autorité parentale.

S'ils acceptent cette proposition, le juge désigne un médiateur familial.

Sortie du territoire

Le juge peut ordonner l'interdiction de sortie de l'enfant du territoire français sans l'autorisation des 2 parents. Cette interdiction est inscrite au fichier des personnes recherchées par le procureur de la République.

Accord entre les parents

Élaboration d'une convention

En cas de séparation, les parents peuvent, de leur propre initiative ou à la demande du juge, rédiger une convention par laquelle ils fixent :

les modalités de l'exercice de l'autorité parentale,
et la contribution à l'entretien et à l'éducation de l'enfant.

Homologation des accords parentaux

Le juge peut décider d'homologuer la convention ou peut refuser de le faire s'il constate que le consentement des parents n'a pas été donné librement ou que l'intérêt de l'enfant n'y est pas suffisamment préservé.

En cas de divorce par consentement mutuel

En cas de divorce par consentement mutuel, les accords parentaux homologués sont obligatoires.

Si l'autorité parentale est confiée à un seul des 2 parents, celui-ci l'exerce sous réserve des droits du conjoint : surveillance de l'éducation de l'enfant et de son entretien.

Modification de la convention homologuée

La convention homologuée peut être modifiée ou complétée à tout moment par le juge, à la demande d'un parent ou du ministère public (qui peut être lui-même saisi par un tiers, parent ou non).

Droits et obligations du parent qui n'exerce pas l'autorité parentale

Droits du parent qui n'exerce pas l'autorité parentale
Le juge peut décider, dans l'intérêt des enfants, que l'autorité parentale sera exercée par l'un des parents (en cas de circonstances particulières).

Dans ce cas, l'autre parent conserve le droit et le devoir de surveiller l'entretien et l'éducation de l'enfant.

A défaut d'accord entre les parents, le juge accorde au parent qui n'a pas l'exercice de l'autorité parentale, un droit de visite et d'hébergement, qui ne peut lui être refusé que pour des motifs graves. Ce droit ne peut être refusé que dans l'intérêt de l'enfant.

Le parent doit être informé des choix importants sur la vie de son enfant et doit respecter l'obligation d'entretien et d'éducation qui lui incombe.

Le parent qui n'exerce pas l'autorité parentale peut saisir le juge aux affaires familiales s'il estime que l'autre parent agit contre l'intérêt de l'enfant.

Obligations du parent qui n'exerce pas l'autorité parentale
Il doit contribuer avec l'autre parent à l'entretien de l'enfant.
L'obligation d'entretien s'exécute le plus souvent sous la forme d'une pension alimentaire.

A savoir : le parent qui exerce l'autorité parentale doit informer l'autre parent des choix importants relatifs à la personne de l'enfant (notamment de scolarité).

Contribution à l'éducation

Les parents doivent contribuer à l'entretien et à l'éducation des enfants à proportion de leurs ressources, de celles de l'autre parent, ainsi que des besoins de l'enfant.

Cette obligation peut se poursuivre lorsque l'enfant est majeur.
La contribution à l'entretien et à l'éducation des enfants peut être versée sous forme d'une pension alimentaire.

Elle est due par l'un des parents à l'autre ou à la personne à laquelle l'enfant a été confié.

Cette contribution est fixée soit par le juge, soit par la convention homologuée.

La pension alimentaire peut être servie en tout ou partie sous forme d'un droit d'usage ou d'habitation, ou prendre la forme en tout ou partie d'une prise en charge directe de frais exposés au profit de l'enfant.

La pension alimentaire peut être remplacée, en tout ou partie, par le versement d'une somme d'argent à un organisme accrédité chargé d'accorder en contrepartie à l'enfant une rente indexée, l'abandon de biens en usufruit ou l'affectation de biens productifs de revenus

Le droit de l'enfant à être entendu


La Convention internationale des droits de l’enfant prévoit dans son article 12 que l’enfant « capable de discernement » puisse « exprimer librement son opinion sur toute questionl’intéressant, ses opinions étant dûment prises en considération eu égard à son âge et à son degré de maturité ».

Le droit français s’est inscrit dans le droit fil de cette Convention en prévoyant que la parole de l’enfant soit intimement liée à son intérêt et à l’autorité parentale telle qu’elle est exercée par les parents : « les parents associent l’enfant aux décisions qui le concernent, selon son âge et son degré de maturité. »

De même, la parole de l’enfant est consacrée devant les tribunaux puisque le « mineur capable de discernement peut», depuis la loi du 8 janvier 1993 et « dans toute procédure le concernant », « être entendu par le juge ou la personne désignée par le juge à cet effet »

Le PACS

Le PACS, qui a été beaucoup décrié à sa création, revient en force car il possède les avantages de l'union libre, notamment quant à la facilité de la mise en place et de la rupture, et certains avantages du mariage, parts fiscales, partage des biens, héritage.

La résidence alternée

La résidence alternée est un mode de partage de la résidence après la séparation par lequel l'enfant passe "à peu près" le même temps chez son père et sa mère sans que l'égalité des temps soit une nécessité absolue.

La résidence alternée suppose des résidences proches des parents pour que l'enfant puisse aller facilement à la même école, et finir par passer avec aisance d'un domicile à l'autre.

Le divorce

Le divorce est la rupture du mariage. Il se fait nécessairement devant le Tribunal de Grande Instance avec l'assistance d'un avocat.

Il existe plusieurs divorces amiables, le plus courant est le divorce par consentement mutuel, dans lequel les époux se présentent devant le juge avec une convention de divorce qui en règle tous les effets. ils peuvent être assistés par un seul avocat. la convention peut se préparer en médiation famililale.

Quand le divorce n'est pas par consentement mutuel, on doit saisir le juge qui édicte les mesures provisoires: pensions, résidences, droits de visite. On peut revenir après à un divorce par consentement mutuel.


5 mars 2011

Je cherche une assistance juridique gratuite pour une requête JAF pour modifier mes droits de visite

Vous êtes en plein divorce, ou au milieu d’une séparation de votre concubin, ou à la fin d’un PACS, vous vous posez la question du droit de visite et de la pension alimentaire . faut-il saisir le Juge aux affaires familiales (le JAF), prendre un avocat (1022) pour vous assister à l’audience ?
Vous pouvez aussi imaginer une résidence alternée , qui est souvent possible en cas de séparation des parents, si les deux sont d’accord pour ne pas demander la résidence à titre principal.
Pour saisir le JAF, il faut établir une requête., pour cela, on peut avoir besoin d’une aide juridique.
La requete JAF n’est pas obligatoire dans tous les cas, mais elle peut être conseillée. Le JAF statuera entre autres sur le droit de garde, et déterminera la répartition des week-ends et des vacances scolaires.
Si vous souhaitez une assistance juridique gratuite , vous pouvez consulter une association de médiation familiale.
• divorce (1417)
• droit de visite (1190)
• Pension alimentaire (1152)
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13 déc. 2010

Vous souhaitez vous séparer.Vous n’êtes pas mariés. Vous êtes totalement libres de vous séparer comme bon vous semble.

Le recours à un avocat et le passage devant le JAF ne sont pas obligatoires.
Néanmoins, vous pouvez présenter une requête au JAF afin qu’il formalise vos décisions notamment en ce qui concerne les droits de visite et d’hébergement des enfants, le montant et le versement d’une pension alimentaire.

Vous estimez avoir été lésé dans vos rapports avec vos enfants lors de votre séparation (droit de garde, droit de visite…).

Vous pouvez contester la décision rendue par le JAF.

Vous êtes divorcés (ou séparés) depuis un certain temps et votre situation (ou celle de votre ex-conjoint) a changé.

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Vous êtes divorcés (ou séparés) depuis un certain temps et votre situation (ou celle de votre ex-conjoint) a changé.

Vous avez vécu en concubinage, vous êtes séparés et aucune décision de justice n’est jamais intervenue.

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1) Il faut essayer de trouver un accord amiable pour l'intérêt de l'enfant. Une association de médiation familiale pourra vous aider.
2) En cas de désaccord, il est possible de saisir le Juge Aux Affaires Familiales afin de lui faire part des difficultés rencontrées. Celui-ci pourra ordonner notamment une médiation familiale

Votre ex-conjoint (ou ex-concubin) ne respecte pas les droits de visite et d’hébergement et aucune décision de justice n'a été rendue.

Un accord pour le bien-être de l'enfant doit être trouvé. Une association de médiation familiale peut être consultée. En cas de désaccord grave et persistant, il est possible de s'adresser au Juge aux Affaires Familiales qui fixera le droit de visite et d'hébergement dans l'intérêt de l'enfant, au besoin après une mesure d'enquête

12 déc. 2010

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La Cour d'Appel a accordé à M. Y... un droit de visite et, après sevrage de l'enfant, un droit d'hébergement, selon un rythme d'une fin de semaine sur deux, sous réserve des fins de semaine de formation de la mère.

Aucune circonstance ne justifiait que les droits de visite du père soient restreints, ensuite, que la mère n'apportait pas de justification de ce que le père de l'enfant serait incapable de s'occuper de son fils, ou le placerait en situation de danger lors de l'exercice du droit de visite et d'hébergement, la cour d'appel, a estimé qu'il était de l'intérêt de l'enfant de distinguer selon que l'enfant était ou non sevré, pour accorder au père, d'abord un droit de visite, ensuite un droit d'hébergement.http://www.je-cree-ma-propre-entreprise.org/
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11 déc. 2010

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En présence d'un conflit familial aigu, ancien et non résolu opposant les grands-parents et les parents de l'enfant, l'intérêt de celui-ci est susceptible de faire obstacle dans ce contexte à des rencontres obligatoires avec les premiers organisées pour la mise en place d'un droit de visite.

La nécessité était d'apaiser ce conflit avant d'envisager la possibilité d'un droit de visite des grands parents, car la situation était susceptible d'évolution dans le temps et les grands-parents s'étaient engagés à ne pas dénigrer leur fils et leur belle-fille auprès de leurs petits-enfants.http://www.je-cree-ma-propre-entreprise.org/

L'intérêt des petits enfants faisait obstacle à l'octroi d'un droit de visite des grands-parents en l'état d'un conflit familial lourd et ancien.

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Elle peut être fixée soit en alternance au domicile de chacun des parents, aussi dénommée résidence alternée, (article 373-2-9 code civil), soit fixée au domicile de l’un des parents. Ce choix de la résidence de l’enfant peut résulter d’un accord des parents ou d’une décision prise par le juge en fonction de différents critères qui doivent être appréciés au cas par cas selon l’âge et le contexte. La stabilité offerte à l’enfant dans sa dimension affective, éducative et matérielle, le souci de sa sécurité constituent des critères d’appréciation essentiels.
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La loi a également accordé au juge aux affaires familiales le pouvoir de décider de la résidence alternée même en cas de désaccord des parents. La résidence de l’enfant peut également être fixée au domicile de l’un des parents.

Ce choix peut venir d’un problème de disponibilité de l’autre parent, d’un comportement immature, négligent ou violent. De façon très exceptionnelle, et pour des motifs tenant exclusivement à l’intérêt de l’enfant, le juge aux affaires familiales peut confier l’enfant à un tiers.
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Vous pouvez aussi imaginer une résidence alternée , qui est souvent possible en cas de séparation des parents, si les deux sont d’accord pour ne pas demander la résidence à titre principal.

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• audience (964)
• vacances scolaires (883)
• résidence alternée (880)
• séparation (879)
• résidence (878)
• requête (860)
• concubin (858)
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• requete JAF (603)
• dePACS (565)
• droit de garde (355)

7 déc. 2010

Vous êtes en instance de divorce ou en cours de séparation, vous pouvez faire respecter les droits de vos enfants à voir ses deux parents, tel qu'il procède du droit de la famille, et le droit de vos enfants à recevoir une pension alimentaire de l'autre parent.

Que ce soit le droit de visite du père, ou le droit de visite de la mère, la résidence alternée ou la garde partagée, tous les droits de visite, procèdent du droit des enfants à voir leurs deux parents.

la séparation couple crée une situation délicate pour les enfants, et dans cette période difficile, vous avez besoin d'une aide juridique, ou d'une aide juridique gratuite.

contactez-nous: separation-divorce@yahoo.fr